Comme nous le savons tous, la Russie recrute des jeunes militaire un peu partout dans le monde pour se défendre selon ses autorités, contre l’occident notamment, la France et les pays membre de l’OTAN. . Ce petit article de presse que nous écrivons pour vous, explique comment les étrangers combattent aux côtés de la Russie et ce qu’il faut faire pour l’empêcher.
Bikash, 32 ans, originaire du Népal, s’est lancé dans la guerre en Ukraine après avoir vu une vidéo de l’armée russe sur TikTok. L’homme les a contactés lui-même. Les Russes ont promis aux Népalais beaucoup d’argents pour travailler dans un hôpital de campagne, loin de la ligne de front. Bikash a donc pu avoir un visa touristique et est venu en Russie. Après quelques temps, il s’est retrouvé sur la ligne de front et n’a survécu que parce qu’il s’est rendu à temps à la captivité ukrainienne. L’histoire de Bikash ne fait pas exception. La Russie ressent un manque du personnel sur le front et recrute donc des mercenaires dans les pays d’Afrique et d’Asie
En Russie, les mobilisés s’épuisent
Après que la Fédération de Russie ait manqué de combattants du PMC « Wagner », qui ont activement participé aux hostilités en Ukraine et dans les pays africains, et que les Russes ordinaires ne se soient pas précipités pour mourir dans les tranchées, le pays agresseur a été confronté à des difficultés considérables de mobilisation. Elle a donc activé ses efforts pour trouver des mercenaires dans le monde entier. La géographie est impressionnante : les « soldats de fortune » pour la guerre en Ukraine sont recrutés dans les pays africains, notamment en Sierra Leone, en Somalie, en Égypte et au Congo, et en Asie (le Népal et l’Inde sont ici les leaders) ».
Des salaires élevés et une vie meilleure
Les histoires de tous les mercenaires sont assez similaires : on leur promettait des salaires énormes, selon les normes de leur pays, et une vie meilleure s’ils venaient en Russie. Tout le monde n’était pas prévenu qu’il faudrait faire la guerre. Certains étaient convaincus qu’ils effectueraient des travaux civils en Fédération de Russie, par exemple en tant qu’agent de sécurité.
Le quartier général ne précise pas exactement combien des mercenaires des pays africains se trouvent déjà dans les prisons ukrainiennes. Mais les étrangers ayant rejoint l’armée russe sont invités à se rendre au plus vite. Les étrangers qui ont décidé de sauver leur vie peuvent écrire au chat bot du projet « Je veux vivre ». Cela peut se faire même dans la langue maternelle des mercenaires. Après tout, la plupart d’entre eux ne connaissent pas la langue russe du pays pour lequel ils sont venus mourir.
« Je veux vivre » est un projet de l’État ukrainien destiné à aider les militaires de la Fédération de Russie à se rendre en toute sécurité. Selon Matvienko, au cours de l’existence du projet, le nombre de visites sur leur site Web a déjà atteint plus de 49 millions. 45 d’entre eux viennent du territoire de la Fédération de Russie. De 50 à 100 candidatures sont reçues chaque jour.
« Une personne sur mille est capturée. Autrement dit, ces personnes capturées par les Ukrainiens sont les plus chanceuses qui ont réussi à sauver leur vie et en partie leur santé. Même s’il y a parmi eux des blessés », disent les experts de la guerre entre l’Ukraine et la Russie. (Note de la Fédération).
L’espérance de vie d’un mercenaire au front n’est pas des jours, mais, des heure
Selon les informations à notre possession, selon certains journalistes américains sur le terrain de combat, « l’espérance de vie des citoyens étrangers au front en Ukraine n’est même pas des jours, mais des heures ». Et d’ajouter, « presque personne ne recevra l’argent promis. La majorité ne tiendra tout simplement pas jusqu’au premier paiement, le reste sera trompé ».
De tout ce qui précède, Il pourrait donc être intéressant pour les pays africains et leurs citoyens de comprendre ce qui attend leurs compatriotes décidés à aller se battre aux côtés de la Russie. Ils sont envoyés au combat comme de la viande parce qu’ils n’ont pas été entraînés. Et même la pauvreté, l’incapacité de gagner de l’argent chez soi, vaut mieux que de mourir dans la guerre de quelqu’un d’autre pour les intérêts de quelqu’un d’autre…
Papy Okito Teme
