Une quinzaine des journalistes ont été formés sur le reportage humanitaire durant deux jours dans la ville de Goma. Un atelier de formation organisée par le Comité International de la Croix-Rouge. Des journalistes bénéficiaires de cette formation se disent satisfaits des enseignements acquises. Ils l’ont dit à leur dernier jour de ce recyclage.
« À travers cette formation j’ai appris beaucoup des notions sur le journalisme humanitaire. Notamment le fait que notre travail de journaliste n’est pas d’être seulement le premier à donner de l’information (scoop) mais celui d’être le premier à donner de la bonne information, la vraie » déclare Justin Kabumba, journaliste à Afrique Media et l’un de ses confrères d’ajouter que les enseignements appris m’ont donnés le goût et l’intérêt de se pencher sur les questions humanitaires qui méritent une attention particulière de notre part .
Les journalistes prennent l’engagement
Désormais je veux œuvrer au travers les reportages et publications sur des questions humanitaires a souhaité Kayembe M’VITA Dido Journaliste à Dépeche.CD. Du côté des formateurs l’on a insisté sur la notion de l’angle dont le journaliste doit aborder pour traiter son information en les appelants à se tourner leur regard vers ces sujets : « Les journalistes congolais en ce jour doit changer son regard en ce moment en traitant le sort réservé aux victimes des conflits. Lorsque nous faisons nos reportages que nous puissions attirer l’attention des humanitaires en parlant sur la vie des victimes, blessées de guerres dont les enfants et femmes mais aussi violences sexuelles » insiste-t-il en poursuivant qu’avec nos instruments de travail nous pouvons mobiliser les humanitaires à s’occuper de ces personnes qui sont dans le besoin a explicité l’assistance, le Directeur de publication du journal les coulisses, Nicaise Kibel Bel
S’occuper des problèmes qui minent leur société
Par contre le CICR via l’une de ses responsables de la communication , appelle les journalistes à s’intéresser plus sur des questions liées aux conflits : « Cette atelier que nous avons organisé Goma, c’était justement intéressé les journalistes à se préoccuper des conflits, ses conséquences graves envers les communautés, les personne affectées, et leurs protection en tenant compte du Droit International Humanitaire » conseille-t-elle ; mais parle des préoccupations des populations affectées par ces conflits. J’espère que, les journalistes dans leurs publications, reportages pourront évoquer les personnes liées aux violences a martelé Madame Rosine KAM BELINGA.il faut dire que cet atelier de formation fait suite à d’autres formations organisées par le CICR notamment celle de Bukavu en vue de renforcer les capacités des journalistes en techniques des reportages humanitaires.
Barak MUNYAMPFURA Héritier