Selon Espoir Bindu, le Directeur Exécutif du Centre pour le Développement des Entreprises CDE en sigle, la réunion de ces différentes personnalités est justifiée par le fait qu’ils veulent matérialiser les idées qu’ils ont eu, celle de la mobilisation communautaire. Le CDE étant organisation sur les recherches, se basant sur le Droit économique, la Liberté économique. Cette année, le CDE s’est borné sur les Droits économiques de la Femme. Espoir Bindu en parle : « L’atelier d’aujourd’hui vise à relayer nos messages à une couche sociale très grande de la RDC dans le but d’atteindre les experts du Gouvernement de la République » explique-t-i en soulignant qu’il sait bien que, toutes les lois de la politique publique sont établies par ces experts du Gouvernement ainsi que les législateurs.
Le CDE a atteint sa cible
C’est la raison pour laquelle le CDE les a ciblés , notamment, la Police des Frontières, les agents des services des assiettes fiscales dont la DGRNK, DGRAD, DGDA et DGI , la Société Civile, les experts du Gouvernement Provincial ainsi que les élus provinciaux…Dans cet atelier, ils ont parlé des droits économiques de la Femme mais aussi de sa situation qu’elle traverse , dénoncer les défis économiques de ces femmes entrepreneures , les ménagères et … afin de chercher à initier certaines réformes en leur faveur. C’est par exemple l’année dernière, son organisation, le CDE était en train de travailler sur le projet ‘’Humeme Bila Kodi’’ est une campagne des fournitures en courant électrique avec exonération des taxes. Celle-ci est parvenue atteindre le Président de la République et son premier-ministre. Sa réforme a été effective le 24 décembre 2021 par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, grâce aux relais des multimédias, du CDE et d’autres parties prenantes de la communauté qui accompagnent cette organisation dans cette lutte.
Le CDE veut faire bouger les lignes
Ainsi, le Gouvernement de la République pourra être incité à prendre des reformes publique régissant les Droits économiques de la femme. Directeur Exécutif du CDE a tenu à remercier les participants ainsi que la presse qui ne cessent de venir appuyer son organisation dans cette démarche. Au finish, le CDE et ses participants ont adressé des recommandations se basant sur les résultats de cette étude qu’il a menée parmi lesquelles, le Gouvernement Congolais devra initier des réformes contre toutes ces barrières juridiques de la Femme.
Bannir les us et coutumes et recadrer nos lois
Parlant des barrières juridiques, Espoir Bintu voit les coutumes, les normes sociales qui freinent la femme malgré l’existence des lois, mais dont plusieurs couches de la société, c’est cas des églises qui continuent à croire que la femme n’est rien pourtant , c’est elle qui nourrit la famille sur le plan économique. il parle de la deuxième recommandation : « Nous avons suggéré au gouvernement d’instaurer une mesure discriminatoire favorisant les entreprises féminines de la femme. Que le gouvernement arrive par le biais du ministre des finances à exonérer les taxes pour toutes les firmes des femmes pour une période donnée » souhaite-t-il en soulignant que, cela, permettra à ce que cette dernière se sent capable de progresse sur le plan économique. Des participant à cet atelier ont promis de faire bien de leur mieux pour accompagner la vision du CDE, c’est le cas de Amani Dunia, Président du COEXI , qui a promis de poursuivre la promotion de l’image positive de la femme au sein de son organisation à l’instar d’autres structures présentes à cet atelier.
Norbert Mwindulwa