Ils sont 15 points d’attentions, formulés par la Fondation West ministère pour la Démocratie, une organisation Britannique, à la CENI sur la machine à voter envie d’atténuer des risques majeurs de son utilisation. Cela s’est passé hier au cours de la cérémonie de la présentation d’une étude sur la fonctionnalité de cette machine et ce, à 95 jours de la tenue des élections en RDC.
Pour Nadia Et Bianne Copra son, respectivement Directeur de la Fondation Ministère pour la Démocratie et consultant adjoint, il ne s’agit nullement de la certification de la machine à voter mais, des résultats d’une étude portant sur sa fonctionnalité. Une étude qui propose 15 points clés d’attentions pour recommander à la CENI d’atténuer les risques dont l’impact et la probabilité sont les plus élevés dans l’usage de la machine à voter. Parmi ces recommandations, les experts demandent à la CENI de désactiver les communications externes comme c’est les cas de la carte Sim et Wi-Fi pendant la tenue des élections. Limiter les nombres maximums des bulletins autorisés approximativement 600 bulletins par machines par chaque bureau de vote. Avec seulement une marge de 10% conformément aux normes internationales. Autres exigences, s’assurer de la présence de nombres de témoins de tous les partis politiques engagés dans la course électorale lors de compilations des machines dans chaque bureau de vote. En réaction, le vice-président de la CENI, Norbert Kantitima se félicite du travail abattu par les experts et a justifié les choix de la machine à voter par les avantages qu’elle procure. Lors de ce débat, les avis étaient mitigés points démontrés par les experts.
Lambert Lambe Kevin/Kinshasa