La Famille d’Isiaka à Kiwanja : « Laurent Malindo Mabano n’a, ni de près ni de loin, été l’accusateur de notre fils »

Un faux complot a été monté contre Laurent Malindo Mabano, agent de la MONUSCO  à Kiwanja. Des sources de la famille de la  victime, nous informent  que   cet homme sait  vivre avec son prochain  et une probité morale irréprochable. Ces affirmations viennent de la part  d’Isiaka Fataki, la personne qu’on a fait passer pour victime  de cette arrestation,  sa mère biologique, son frère ainé  et d’autres sources indépendantes.  Une main noire serait derrière ces accusations pour faire porter le chapeau  à Laurent  ou carrément nuire à son  travail afin de vouloir l’expulser  de Kiwanja ont confirmé des sources lucides.

la maman d’Isiaka Fataki  à Kiwanja

Selon l’article publié , il y a de cela  deux  semaines  par le journal en ligne les Coulisses,  Laurent Malindo ,fonctionnaire à la MONUSCO  , cité comme l’ instigateur  de l’arrestation  d’un prétendu mineur  à Kiwanja , qui selon l’auteur était en mèche avec les services de sécurités  du M23  pour faire  incarcérer  cet homme. Notre rédaction a voulu en savoir plus.

Tout d’abord , Isiaka Fataki  avoue qu’il était ivre lors de son arrestation et il a 30 ans et  non mineur comme il a été décrit par les coulisses.Net,  lui et son frère ainé  Sadiki Fataki  réaffirment qu’ils n’ont jamais eu  des problèmes  avec  l’incriminé Laurent Malindo  en s’interrogeant par la suite que,  derrière ces allégations , il doit y avoir  un complot tordu  de certains collègues de  cet  agent des Nations Unies qui lui veulent du mal. Ce même son de cloche  nous a été  donné par la mère biologique  de celui qui a été qualifié de mineur , cette femme du nom de  ajoute qu’elle ne connait pas Laurent et n’a jamais eu aucun souci avec ce dernier , mais l’acharnement qui est derrière ce faux  problème avec son inconnu  Mabano  lui fait croire qu’il  y a  autres choses que  ses adversaires ne disent pas tout haut a lâché cette dame.

Confrontons des sources pour plus d’infos       

Emergence Plus  ne pouvait pas se limiter là  car  nous avons estimés étendre les  champs en termes des personnes ressources  pour  creuser notre sujet   et comprendre les tenants et les aboutissants de ces accusations. Nos questions vont se diriger  à  un clergé de la place, un mécanicien où la MONUSCO dépanne ses véhicules  et un hôtelier, un membre  de l’ACCO, un commerçant de Kiwanja  pour comprendre  le comportement social de cet agent de la MONUSCO  vis-à-vis de la communauté qu’il sert pour la recherche de paix  dans cette partie Est de la République.  Nous contactons, l’Abée  Janvier, ancien  curé doyen de Rutshuru, lui   a vécu  beaucoup d’années avec  Laurent rassurent nos sources : «  Pour le moment, je suis à Goma. Je connais bien Laurent car j’ai été Curé à Rugari, ce monsieur n’est pas problématique  et il  nous a toujours été disponible  et disposé à nous aider lors qu’il y a nécessité » déclare-t-il en poursuivant que  Malindo Mabano  a un savoir vivre et  savoir-faire que beaucoup manquent. Ces qualités ne peuvent pas lui empêcher de s’attirer des problèmes  de la part  des personnes  faibles en esprit.  Ibrahim, mécanicien renommé de cette cité   a été  aussi , ciblé  par notre rédaction  pour ce même sujet  et  voici sa réaction : «  Je connais bien Laurent , un travailleur assidu  et rigoureux quand il vous offre un service, il exige souvent des résultats  et sur le plan social , il est irréprochable car  il partage avec tout le monde  » insiste-t-il en ajoutant qu’il a un grand cœur  et de telles personnes deviennent de plus en plus rares  dans nos communautés.

Tous,  parlent en bien  pour  cet agent  de la MONUSCO

Dans les mêmes vaines  pour clore notre repartage, nous avons contacté  également  un leader de la jeunesse  du nom de…. Et  le responsable de l’ACCO   de Kiwanja, un hôtelier  qui tous unanimement  corroborent les informations de nos premières sources en précisant que l’incriminés Laurent demeure un être humain  qui a des qualités et ses défauts. Mais  pour cette accusation  portée contre lui par ce média  en ligne ,  l’auteur n’avait pas raison  ,   s’est  penché à  une seule source  dans sa rédaction et n’a pas eu le souci  de poser des questions à cet autre son de cloche pour établir l’équilibre  de fait. Heureusement  après leur  curiosité sur cette question, ils ont compris que rien de tout ça n’a été correct car les Isiaka  lavent  la personne mise en cause  de tout soupçon.

Norbert Mwindulwa

 

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