Nord-Kivu : Quand la question de paix et de développement s’invitent dans un atelier réunissant 20 femmes, une contribution de le Mouvement Rien Sans les Femmes

Au total 20 femmes se réunissent au tour  de la question de la recherche de la paix, de développement  ainsi que d’un savoir faire sur la communication  de masse  dans la même thématique.  Une œuvre utile  du mouvement Rien Sans les Femmes section Nord-Kivu. L’atelier de deux jours se tient à la Maison de la Femme de Goma, du 08 au 09 juillet encours.

le Point Focal, Mme Nelly Keya à Goma

Le Mouvement Rien Sans les femmes  travaille sans relâche sur la participation de la femme dans les résolutions de la paix, mais  ce mouvement  féministe est  aussi conscient que  cette participation devrait impacter deux domaines de la vie, c’est notamment  la paix  et de développement.  Elles ont tenu cette réunion  parce qu’elles ont remarqué qu’il y a une certaine  représentation des femmes  dans le mécanisme de paix et de développement  au niveau locale et dans les  Entités Décentralisées.
la paix appelle  tout le monde  à sa participation
Cela pas seulement au niveau de CPDQ, mais aussi  au niveau de CLPDE et d’autres mécanisme a fait savoir  madame Nelly Keya, le Point Focal  Rien sans les Femmes  au Nord-Kivu. : «  la question ici est de renforcer la capacité  de ces femmes –là,  en terme de leur participation  pour de question de paix , produire de vrais animatrices de paix,  gestionnaires de conflits  pour un impact positif dans les structures où elles  sont représentées »explique-telle en ajoutant que, ce n’est pas seulement des question de paix mais aussi de développement  communautaire, de contrôle citoyen  ainsi que de sécurité  dans leurs contrées. A la question de savoir s’il y a-t-il un défis  dans ce sens ? Nelly Keya rétorque par oui car dit telle, il  ya plusieurs défis dans le fonctionnement normal, mais aussi, il y a des forces  mêmement  , dans leur représentation,  l’arrêtée, elle-même, est genrée  et à ce jour, elles travaillent sur  ces défis  ainsi que le fonctionnement de ces structures.
Il faut qu’elle maitrise les techniques de la communication
Notre source a précisé que, la dernière journée de cet atelier sera spécifique sur les matières concrètes, le renforcement de leur capacité,  de leur communication. Ici, elles vont tabler sur  certaines thématiques comme  le leadership transformationnel, la paix, la gestion  de conflit  etc… au final , il  va s’agir de voir quand ces femmes vont retourner dans leurs milieux respectifs  qu’elles impactent  sur ces matières vues ainsi tablées  sur  des questions de paix et de sécurité,  c’est ce qu’affirme  Elisabeth Rupande , l’une de participante à  ces assises : «  au sortir d’ici  nous comptons être capables  de tabler et communiquer  bien sur des questions de paix et de sécurités  afin que notre participation sur la recherche de la paix  puisse  porte des fruits »  explique –telle devant la presse. Cette jeune femme soutient que des technique  des communications de masses leur sont données  et la manière à  persuader  leurs communautés  et les faire adhérer  à la question de la recherche de la paix.
La paix est un problème   de tous
Elle pense que la paix concerne tout le monde et cela sans exception. Il faut dire que cet atelier  a réuni 20 femmes venues des quartiers différents de Goma  et vont faire deux jours  à la maison de la femme de Goma. Des femmes venues de CPDQ, CLPDE, des structurations des jeunes  venues des quartiers, mécanismes des jeunes, des résiliences pour tabler sur ces questions de paix  et de développement.
Norbert Mwindulwa
 

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