Goma : La revendication des anciens journaliers de la Monusco n’aura pas gain de cause

La revendication des anciens journaliers de la Monusco assiégeant  le quartier général de la Monusco  à plus de 100 jours maintenant n’aura de solution. Le porte-parole de la Monusco a répondu négativement à leur requête lors de la conférence  de presse des nations unies ce 31 octobre dernier. Florence pense que, ces ex-fonctionnaires des nations unies sont allés loin du cadre de la mission.
Florence Marchal a été directe, que leur revendication ne  pourra pas avoir une solution  au sein de la mission. Elle a avancé des raisons que, leurs exigences sortent du cadre de la procédure des nations unies. Florence Marchal a condamné du fait que, les enfants ont été utilisés  dans les revendications des adultes ce lundi 31 octobre. Des manifestations qui ont débordé jusqu’à violé les installations diplomatiques des nations unies «  la perte d’un emploi est toujours un évènement douloureux, c’est la raison pour laquelle, il existe des procédures qui encadrent ces démarches de séparation du personnel  au sein des nations unies »explique-t-il en poursuivant que, ces procédures ont été appliquées et continuent à être appliqué par la Monusco qui a toujours communiqué ouvertement  à ce sujet à la fois  aux employés concernés et à la hiérarchie. Mais, l’ancien personnel des nations unies dont certains ne travaillent plus depuis de nombreuses années à présenter des revendications qui ne les seront pas passible à les résoudre. Car ces revendications sortent du cadre de la procédure qu’ils ont aux Nations Unies. Il faudrait s’attarder sur un élément important, le fait que, les enfants ont été associés à ces manifestations est une inacceptable et va à l’encontre  de l’intérêt supérieur de l’enfant. La place d’un enfant c’est à l’école  et non dans les manifestations. Florence Marchal a souligné que la mission est engagée dans  la stratégie de retrait demandé par les autorités congolaises. Il s’agit donc d’un processus de retriait encours et qui reste irréversible.
Rose Kashala

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