Au menu de ces pourparlers, l’analyse du respect des libertés publiques et de respects des Droits de l’homme lors de manifestations publiques garanties par la Constitution. Ces assises sont deux jours et se tiennent dans les installations de Congo Peace Net Work à Goma à la satisfaction de tous les participants.
Selon Me Félicité Mukombozi Akonkwa, Avocate de profession et cheffe des travaux à l’Université Libre de grands Lacs, a exposé sur les libertés fondamentales ou publiques en RDC. A cet effet, la cheffe des Travaux Félicité de l’ULPGL a expliqué à l’assistance qu’est-ce, la loi prévoit par rapport à ces liberté dans notre pays. Elle revient sur ce qu’a été la contribution à cette face à face entre les mouvements citoyens, la police nationale congolaise et les acteurs des Droits de l’homme : « après avoir confronté les attitudes et avis des praticiens dont la Société Civile, La PNC et un Juriste afin de comprendre l’applicabilité de la loi, mais aussi le respect de la constitution par rapport aux libertés fondamentales en RDC » s’explique-t-elle. Cette spécialiste pense qu’en matière du respect des Droits de l’Homme et des libertés Publiques en RDC, la responsabilité de chaque composante invitée à ces assises est partagée. Elle soutient que, la Société Civile doit aussi respecter les Droits de l’Homme et même la Police car dit-elle, la loi exige que, toute personne doit promouvoir et respecter ces droits. Par contre la Police, représenté par le colonel en charge de Relations publiques argumente qu’ils maitrisent bien cette loi, mais quand le politique parle à leurs services, ils sont ordonnés parfois à laisser tomber les droits donc la politique prime sur le Droits et doivent maintenir à tout prix un climat de paix et de sécurité en faveur de la population. Chose que la Société civile a dénoncé séance tenante. Il faut dire que, ces assises sont organisées par Congo Peace Net Work et se tiennent à Goma du 13 au 14 novembre 2019.
Norbert Mwindulwa