Ses vacances ont duré un mois en lieu et place de 3 mois suite aux particularités de cette législature constituée généralement par l’installation du bureau définitif du Sénat et d’élaboration des règlements d’ordre Intérieur du Sénat. Il a rencontré sa base électorale et ont discuté sur la politique du moment, le social de la population et l’éradication de la Maladie à Ebola. Il a fini par affirmé que le ministre Provincial Fatou Hassan est leur fille de Walikale.
« J’ai rencontré certains grands électeurs pour récolter les préoccupations de la population du Nord-Kivu, mais aussi le Gouverneur de la Province Carly Kasivita dans le même but. Ce lui de s’enquérir des problèmes généraux de notre province afin de chercher les voies et moyens pour en trouver des solutions plus durables »déclare-t-il. Il l’a dit ce samedi 14 septembre en cours lors d’un point de presse organisé à sa résidence à Goma. L’honorable Jean-Pierre Munembwe rentre donc à Kinshasa, en homme comblé d’avoir achevé ses tâches parlementaires. Il en dit plus « je suis venu il y a presqu’un mois et j’ai eu à avoir certaines autorités de la province notamment ma base électorale , qui sont les députés provinciaux, qui pour la plupart étaient aussi en vacances parlementaire » s’explique-t-il en soulignant qu’il a pu saisir le président de cet organe délibérant de la province, l’honorable Abinshunti Seninga Robert , son vice-président, Jean-Paul Lumbulumbu et les quatre présidents des commissions de cette Assemblée. Ils l’ont briefé des problèmes qui rongent la population du Nord-Kivu notamment l’insécurité et la Maladie à Virus Ebola, qui visiblement trouve solution peu à peu.
Il rentre en homme qui a rempli de sa mission
L’honorable Jean-Pierre Munembwe ne sait pas limiter à ces autorités, il est allé voir certaines couches de la population afin de s’imprégner de leurs situations et aussi voir des quelles mesures, il peut formuler des plaidoyers dans la Chambre Haute du Parlement National dans le but trouver des solutions efficaces dans un bref délai. « Je n’ai pas baissé les bras pendant cette courte période, j’ai eu avoir les amis de la presse, ils m’ont édifié de par leurs questions sur tous les problèmes qui préoccupent notre provinces, ce soir, j’ai un agenda surchargé avec des rencontres des concitoyens pour savoir plus sur ce dont l’ont peut faire lors de la session budgétaire va commencer ce 15 septembre 2019 afin que leurs problèmes trouvent compte dans ce prochain budget qui sera fixé » a-t-il insisté. Donc, le Sénateur Jean-Pierre Munembwe a été redevable à ses électeurs, constitués par les grands électeurs qui sont les députés provinciaux. Un véritable motif de soulagement pour ce représentant du peuple au haut plus niveau des instances politiques de la République Démocratique du Congo. Par ailleurs, les journalistes ont voulu savoir si le Sénateur Munembwe a joué son rôle d’un sapeur-pompier pour réconcilier les filles et fils de Walikale sur la question de l’ originalité du Ministre Provincial Fatou Hassan, qui divise l’opinion des certains ressortissants de ce territoire dont lui-même en fait partie ?.
Fatou Hassan est notre fille de Walikale
Le Sénateur Jean-Pierre soutient que, ce problème est plus politique que social et Madame le Ministre Provincial Fatou est la fille de leur fille de Walikale. Elle a du sang de leur territoire quoi qu’elle grandi ailleurs pour des raisons académiques. « Ce sont les parents qui disent que quelqu’un est de tel coin de notre pays et personne n’a choisi d’être ni dans ce pays moins encore dans son territoire, cette femme est la fille de notre sœur de Walikale, elle porte notre sang et nous en sommes fier » déclare-t-il en précisant que Fatou Hassan est la fille de la sœur est née du président de la communauté Kano à Goma, que tout le monde connait bien. Donc arrêtons des spéculations, elle fait partie du parti politique AARC et, est fille de Walikale. Elle a rempli des critères pour devenir ce qu’elle est à ce jour. Le Sénateur a fini son mot en disant qu’il est disponible et disposé à recevoir toutes les préoccupations de la population de notre province et d’en chercher des pistes des solutions.
Norbert Mwindulwa