Décédé suite d’une courte maladie depuis le jeudi 27 Juin dans les après-midi, le journaliste Moise Matata repose à désormais au cimetière de Gabiro situé à une dizaine des kilomètres au Nord de la ville de Goma. Quelques heures peu avant que, son corps ne soit acheminé à sa dernière demeure, une messe de requiem a été dite en sa mémoire à la chapèle notre dame du Congo suivi des hommages digne venant des plusieurs membres de sa famille biologique ainsi que, de ceux de la corporation des journalistes du Nord Kivu. Tous étaient visiblement inconsolables.
Il a reçu des hommages mérités
De son côté Alain ALAME, membre du conseil de discipline de l’Union nationale de la presse du Congo UNPC section du Nord Kivu pense que moise est une image qui ne doit pas s’efface dans la presse du Nord Kivu. « Moise Matata usait du professionnalisme dans son métier , il n’était pas charlatan il était parmi les meilleurs journalistes qui savent prendre des images ici en province du Nord Kivu, la province en particulier» déclare-t-il de poursuivre que, le pays en général ont perdu une très importante personnalité dans le secteur médiatique, je peux demander à ceux-là qui restaient de son coté de continuer à pratiquer le travail avec dynamisme pour garder en mémoire le professionnalisme de leur collègue, ce dernier doit servir à tous les preneurs des images de model envie de savoir bien exécuter leur travail, bref il restera graver dans nos mémoires.
Ses confrères, inconsolables
Selon l’un de ses proches collaborateurs, Norbert Mwindulwa, ce dernier était quelqu’un qui prenait la confrérie comme une première priorité pendant l’exécution de son travail de journaliste. « Il était d’ailleurs parmi nos principaux conseillers, seulement que sa mort vient si vite nous bouleverser car nous avons encore besoin de lui, étant quelqu’un qui aimait beaucoup sa profession, nous ne l’oublierons point, puisse Dieu l’accueillir dans son royaume céleste » a-t-il martelé.
Pour Méthode Kitunda, rédacteur en chef à Nations TV ou a œuvré jusqu’au jour de sa mort. Ce responsable affirme que, la disparition brusque de Moïse Matata constitue une perte irrécupérable au sein de la presse du Nord Kivu du fait que, personne ne peut remplacer l’autre car la créature est unique et nul ne viendra combler ce vide laissé. Des hommages vibrant ainsi que d’autres signes faisant reconnaissance de la bravoure de ce dernier se sont fait observé au sein de ses collègues du groupe de presse Mishapi, la prunelle, colombe Fm ainsi que d’autres venants de la Radiotélévision Nationale Congolaise RTNC. Rappelons en même temps que l’illustre disparu laisse au monde une orpheline ainsi qu’une veuve.
Freddy Ruvunangiza