Après la formation sur la conduite de nos rédactions à optimiser l’apport des journalistes et de leurs sécurités en période électorale, le JED a planché ce 30 aout en cours, sur la gestion de l’information électorale. 20 chefs des rédactions et Directeurs de publication ont été renforcés la capacité sur des notions précitées.
Il a été rappelé que, les journalistes doivent user à la lettre des règles et princes du métier de journaliste. Selon Tuver Wundi, le facilitateur à cet échange deux jours des formations intenses, le pyramide ne sera pas inversé cette fois-ci , en cette période « la gestion de l’information électorale se repose sur la pyramide des journalisme professionnel qui regroupe cinq obligations ,dont la vérité et la véracité, de la citoyenneté, de la solidarité et d’autres liées au journalisme de paix et la confraternité qui est apprendre avec une grande considération » s’explique-t-il devant la presse. Ici, l’orateur du jour est revenu en rappelant à ses pairs que, le professionnel des medias forme un corps pour ne pas utiliser nos medias comme des armes dans le but de détruire les autres medias soit disant peu connus ou qui ne partage pas notre opinion. Ces obligations précitées permettront au public de prendre délibérément sa décision pour faire son choix au profit ou au détriment de tel ou tel candidat. A la question de savoir, comment un journaliste peut mettre en péril un processus électoral, le point focal de Journaliste en Danger à l’Est de la RDC pense que, si le professionnel d’antenne , lui-même déforme le fait, nous sommes dans une période où le politique nous apporte un discours contraire au fait vécu. D’où le journaliste devra prendre ces information avec plus de discernements, à défaut, il induit son auditoire en erreur « il faut qu’on ait un sens très élevé de discernement avant de diffuser une information, le travail reste très obligeant lors de la collecte, du traitement et de la diffusion afin que la population élise avec conscience » insiste-t-il. Il faut dire que, cette formation est assurée par JED, sous l’appui technique et financier de Reporters sans frontières.
Patrick Felix Abely