La criminalité bat son plein en ville de Goma et ses environs. Selon l’élu de Goma, Josué Mufula, il ne peut plus se passé deux jours sans que sa base électorale n’enterre les leur. Oui, cet élu a pleinement raison car il y a peu, la semaine dernière, deux jeunes ont encore succombé de la méchanceté des bandits à mains armés dans les quartiers de la ville de Goma. Cette situation inquiète tellement cet élu et en dénonce avec sa dernière énergie.
A cet effet, il vient de mettre en cause la responsable partagée des autorités de la place . Très en colère, l’honorable Josué Mufula appelle les autorités sous l’Etat de Siège à agir au plus vite que possible pour que, cette situation trouve une solution plus définitive. : « Il n’est pas normal que des civiles sans défenses puissent régulièrement mourir alors que nous sommes sous Etat de Siège » dénonce-t-il en poursuivant que le Chef de l’exécutif Provincial est un militaire comme le maire de la ville, un policier de haut rang.
Hon. Josué ne va plus voter la prorogation de l’Etat de Siège
Cet homme d’Etat promet à cet effet, de ne plus voter la prorogation de l’Etat de Siège dans les provinces de l’Ituri et celle du Nord-Kivu. Josué Mufula pense que l’ancien pratique de la peine de mort pourrait diminuer cette courbe des criminalité dans sa ville natale et sa province , le Nord-Kivu ; « Si l’on mettait la main sur un criminel , c’est mieux qu’il soit pendu au stade de l’unité et cela publiquement pour servir des leçons aux autres bandits de grands chemins » se défoule-t-il en soulignant qu’on puisse appliquer la peine de mort , facilement , cela peut donner peur au ventre à ces bandits et l’insécurité devra prendre fin .
La peine de mort, une solution pour tous çà
Il pense aussi que, nos autorités miliaires sont –là, lui –même a servi sous le drapeau comme soldat du peuple : « c’est mieux pour moi que ces bandits tués au vu et au su de tous et qu’ils mis hors d’Etat de nuire ». A-t-il insisté dans sa langue vernaculaire, le Swahili. Il faut dire que, la ville de Goma est redevenue comme un champ de batail où il se passe plus deux jours sans que ces hommes sans foi puissent prendre de force la vie d’un innocent et cela, sous l’œil impuissant des autorités de la place. Des cambriolages ciblés sont aussi enregistrés régulièrement comme des assassinats. Les derniers cas en date , ceux du dimanche 16 janvier 2022 où, ils ont parvenu à assassiné un jeune musicien de Goma comme sous le nom de Black S , Séraphin Kagheni et un jeune diplômé d’universités exécuté à bout portant devant la parcelle familiale le lundi 17 janvier en cours par des hommes non autrement identifiés. L’honorable Josué Mufula s’en inquiète et réagit contre cette augmentation de criminalité en ville de Goma
Patrick Félix Abely