Les Leaders Féminins de TFAM se sont exprimés ce mardi 28 juillet 2020 concernant leur approche de travail effectué dans la ville de Goma. Il a s’agit des volets notamment du genre et d’égalité des sexes fait par Rose Kashala, l’autre s’occupe d’une approche ayant train au développement intégral de la femme congolaise chapotée par Patricia Baderha et la dernier se spécialise de la parité entre les hommes et les femme dirigée par Liduine Kamori. Toutes militent pour la promotion de l’image de marque de la femme congolaise.

Le développement de la femme, son émancipation ainsi que son égalité de chance dans tous les secteurs de la vie ont été au centre de cet exercice d’expression verbale de ce jours. Elles ont parlé de la politique en passant par l’économie jusqu’à la diplomatie de la RDC dans le but de voir leur situation avancée en terme d’épanouissement et de développement intégral de la femme congolaise. Ces femmes engagées travaillants déjà aux côtés de l’organisation TFAM /RDC ont émis les vœux de voir que leurs représentants dans la structure précitées leur facilitent la tâche afin de réaliser leur rêve, celui de s’épanouir dans la société.
Elles plaident pour une structure plus spécialisée
Rose Kashala en parle plus : « nous avons besoin d’avoir un appui moral que financier afin de nous faciliter de nous intégrer à un regroupement social des femmes plus spécialisé et cela en termes des projets nous autonomisant , nous donnant la chance d’accéder entant que telle dans la profession sans avoir beaucoup de préjugés sur les sexes » souhaite-t-elle.
Peu d’avance, mais insignifiante
Sa préoccupation a été appuyée par Prosper Bugoma de TFAM /RDC qui souligne qu’il un lierre d’espoir sur la situation d’émancipation de la femme en RDC : « nous notons une nette amélioration en termes de progression de la femme , mais beaucoup restent à faire car les femmes ne sont pas suffisamment représentées dans beaucoup de secteurs de la vie humaine et c’est la raison pour laquelle, elle demeure victime de discrimination sociale » explique-t-il en poursuivant que la femme congolaise est victime d’une pauvreté aigue à cause de tous ces maux et c’est la raison de son actuel combat déterminant son avenir meilleur dans cette lutte d’autonomisation de la femme , son émancipation et son intégration radieuse au sein de la société car elle reste une victime collatérale de tout genre.
Un esquire entre homme et femme est toujours là

De son côté, Liduine Kamore, femme leader de son état, travaillant dans le compte de TFAM/Goma révèle que, les rapports entre les femmes et les hommes, celui entre les femmes LBT et les hétérogènes demeurent une préoccupation majeure dans la société congolaise. Elle souligne que , c’est les relations de pouvoir inégales qui selon elle , empêchent un développement équitable ainsi qu’une participation de la femme en général et celle des femmes LBT en particulier. Son organisation poursuit quelques objectifs dont : « un développement équitable et durable où les femmes et les hommes devront prendre des décisions sans oublier celles de LBT, elles doivent accroitre le pouvoir des plus démunis et des femmes oublier des femmes LBT » déclare-t-elle et de poursuivre que : « qu’elles doivent transformer les relations non égalitaires en considérant les besoins pratiques déterminés par les femmes et les hommes envie d’améliorer leurs conditions tout en se focalisant sur les femmes membres de la minorité sexuelle , qui sont plus discriminées dans la communauté » insiste-t-elle .

Cette femme leader pense aussi que , traiter en même temps les intérêts stratégiques des femmes ainsi que des membres de la communauté peut faire face aux intérêts stratégiques des pauvres par un développement axé sur les genres et sur leur point focal , la communauté. Ces avis sont aussi partagés par Patricia Baderha , une femme leader de TFAM RDC qui s’emploi chaque jour à promouvoir ses pairs , des femmes LBT contraintes à l’exclusion pourtant,, elles représentent la moitié de ressources potentielles de production du processus de développement . Patricia B. parle des objectifs qu’assigne sa structure spécialisée : « nous avons un objectif d’avoir un développement plus efficace avec de solution pour intégrer les femmes au processus de développement existant sans oublier les membres de notre communauté LBT » vise-t-elle en ajoutant qu’elle a des stratégies dont : « des concevoir des projets pour les femmes, projets intégrés, accroître la productivité des femmes ainsi que son revenu afin d’effectuer les tâches traditionnelles liées à leur rôle » énumère-t-il .Norbert Mwindulwa