Le Centre de l’0MS dédiés à la Riposte Contre Ebola, ciblé par des présumés Mai –mai en Ituri. Au total sept personnes ont été tuées dans la nuit de ce mercredi à ce jeudi. Parmi ces personnes tuées, il y a quatre agents de la Ripostes contre la maladie à Virus Ebola précisément au centre de Byakato. Selon nos sources, les FARDC sont à la poursuite de ces assaillants.
Cette attaque a ciblé les cantonnements des agents de Ripostes contre Ebola disent plusieurs sources sur places. Ces agents aux tours de 180 dont pour la plupart travaillant dans des nombreuses Organisations internationales, militantes contre Ebola. Les sources proches des FARDC sur place s’inquiètent, elles ont parlé du sabotage de ces cantonnements de la Riposte contre la Maladie à Virus Ebola : « ces milices soutiennent que Ebola est une mascarade pour se faire de l’argent entre eux, c’est la raison pour laquelle, ils ont attaqué Byakato qui selon eux sert d’une base arrière pour atteindre luhemba, qui a déjà enregistré quelques cas positifs » déclare-t-il.
Des agents perdent leurs vies
Quatre agents humanitaires tués d’une seule nuit, c’est considéré comme la plus meurtrière attaque permettre contre les services de la Riposte contre Ebola a fait savoir un acteur de la société civile locale. Après avoir tués ces agents, le sous commissariat de la police de Katwa a été aussi dans les viseurs de ces bandits à mains armées, ils ont ainsi saccagé leur poste et libéré tous les détenus à ciel ouvert. Le responsable de la Police locale dit avoir perdu le contact de l’un de son personnel. La Société Civile locale déclare avoir peur que les équipes de ripostes ne puissent plus suivre des personnes sur la chaine de contamination de ce virus mortel.
Une région rouge pour des attaques
Ce qui est vrai, ce que, ces zones restent la cible des multiples attaques des groupes armés. Pour rappel, c’est dans cette zone qu’un journaliste local impliqué dans la riposte à Ebola a été en début de ce mois de novembre 2019. Ses collègues avec qu’il travaillait sont désormais contraints à vivre en clandestinité craignant ainsi pour leur propre vie et leur radio a été réduite en silence.
Norbert Mwindulwa