la situation d'insécurité cause le mouvement des déplacements de la population à Kanyarutshinya , 10 kilométrés de Goma

Crise humanitaire dans la province du Nord-Kivu : le Médecin Sans Frontière appelle à un sursaut de mobilisation.

Ce message de cette  ONG Internationale est contenu dans communiqué de presse  publié le Mardi 04 Avril 2023, MSF  parle de plus d’un million  des déplacés des guerres  ces 12  derniers mois   pour fuir le  combat lié à la résurgence  du groupe des rebelles M23. Cette ONG Humanitaire  s’inquiète      cependant du fait que La réponse humanitaire n’est pas à la hauteur  des besoins.

Selon le constant sur le terrain, trois mille abris  pouvant accueillir  environ un nombre des déplacés identifiés à 15 mille personnes, qui sont déjà  construits aux environs de la ville de Goma depuis le début de la crise. Il  se remarque également moins des latrines, à peine un litre  d’eau est distribuée à chaque déplacé  le cas jusqu’à présent pour  ne citer que ces quelques points.

La situation est très préoccupante

Pour le représentant pays de le MSF , cette situation requiert  une forte mobilisation  pense Raphael Piret : «Juste pour vous donner un exemple qu’à Bulengo   on dénombre une latrine pour près de 500 personnes ,  les personnes déplacés doivent survivre avec  à peine un litre d’eau potable par jour  au lieu de 15 litres quotidien  , qui sont recommandé » décarre-t-il en poursuivant qu’il y a une explosion des rougeoles  et de choléra . Les équipes de le MSF  sont  à pied d’œuvre mais  elles sont complètements débordées nous a confié notre source.

Multiplions d’efforts

C’est la raison pour laquelle,  le MSF  appelle la communauté humanitaire  et les autorités  à redoubler d’efforts  et aussi les parties aux conflits à   faciliter l’accès aux organisations humanitaires se trouvant sur le terrain.   Par ailleurs, à l’intérieur de la zone occupée par le M23 , le MSF  est la seul ONG  intervenant  par exemple dans le territoire de Rutshuru   tandis que dans cette zone, les déplacements  des lignes des fronts ont coupé la route principale d’approvisionnement  notamment en médicament et en produit des premiers nécessiteux  enclavant certes     des milliers des familles qui y vivent  encore.

 

Norbert Mwindulwa  

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