Antoine Félix Tshisekedi a abordé plusieurs points liés à la vie politique actuelle, on a noté la question brulante de la coalition au pouvoir de CASH et du FCC qui fait face à des tensions politiques persistantes de ce dernier temps y compris le secteur judicaire qui le vise. Il compte toujours à sa majorité présidentielle selon ses dires.
A en croire le Président de la République tient encore à la coalition du CASH- le FCC tient encore pour la bonne marche de la RDC. Il pense qu’il important que, cette expérience inédite et sensible voulue salutaire par ses fondateurs ne conduise à aggraver les problèmes de la société congolaise en créant ou en renforçant les hostilités mutuelles ainsi que la méfiance, a estimé le Chef de l’état congolais lors de son discours à l’occasion de l’accession à l’indépendance de la RDC. Cette répétition de l’histoire est déjà produite en 1960, où il y avait une majorité présidentielle et un Président de la République qui vienne des composantes politiques différentes. Une occasion de réparer les pêchés originels qui ont entrainé la RDC dans une situation de crise a rappelé le Président Tshisekedi. Dans cet élan, il promet de n’est pas aménagé aucun de ses efforts afin de s’assurer qu’il y a un dialogue interinstitutionnel régulier.
Tshisekedi ne veut pas des crises
Il soutient qu’aucune crise inutile ne puisse perturber la stabilité de la RDC. Le Président de la République s’est ensuite réjouit de l’indépendance, ses avancées enregistrées l’ont été au prix des sacrifices a-t-il ainsité. Ces dites avancées ne peuvent être annuler par des manœuvres derrières gardes qui s’observent chez certains de vouloir Légiférer pour déposséder le Conseil Supérieur de la Magistrature, du pouvoir judicaire qu’ils détiennent pourtant par la Constitution de la République a-t-il lancé au moment où la chambre basse du parlement examine trois proposition des lois controversées sur la reforme du secteur judicaire : « les reformes dans ce secteurs doivent etre voter non pas dans le souci d’assurer la protection d’une personne ou d’un groupe de personnes , mais plutôt par le souci d’apporter plus d’efficacités et d’efficiences au fonctionnement de la justice » déclare-t-il . Il est revenu sur son initiative phare de gratuité de l’enseignement à l’école primaire. Une initiative qui selon lui a permis à 2 millions d’enfants supplémentaires à retrouver leurs chemins de l’école.
Norbert Mwindulwa