La parcelle E 623 du quartier les volcans appartient bel et bien à la famille Muhima selon les documents originaux délivrés par son ancien propriétaire Mario Alberto. Les documents le prouvent et la justice l’a confirmé. C’est pourquoi l’Avocat Conseil de la famille Muhima dénonce l’acharnement dont la TGI/Goma est victime. Il demande à la partie adverse de recourir aux voies légales et non salure les noms des personnalités Judicaires pour vouloir influencer les décisions.
La Succession Muhima représentée par son liquidateur Mr Jacques Bandu Muhima Mulanya s’est décidée d’informer le public de Goma et ses connaissances ce 29 Avril 2020. Cette information vient donc couper court les rumeurs qui circulent sur le Jugement de sa parcelle E 623 sise au quartier les Volcans dans la commune de Goma appartient pour toujours à leur succession. Après que leur Défunt père ait acheté la dite parcelle auprès de Mario Alberto en date du 23 mars 1960. Ce dernier a obtenu le transfert de propriété de sa concession le 17 Mars 1960 avec des pièces à conviction originales dont son certificat d’enregistrement volume F35, volume 55 dans la même date précitée. Selon notre source, son certificat d’enregistrement n’a jamais fait l’objet d’une quelconque annulation et que par conséquent il souligne qu’en date du 16 juillet 1989 , il avait signé un contrat un contrat de location : « le dit contrat a été signé entre notre feu père et Mr Mathieuot Maurice qui a été commandant du Centre des Troupes aéroportés en signe CITA. Ceci jusqu’à l’avènement de l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo en sigle AFDL » explique son Avocat Conseil, Frank Muteba tenant des documents originaux témoignant toutes ces opérations entre ses mains.
Le RCD avait reconnu que la parcelle appartient à Muhima
Cet Avocat souligne que cette parcelle sera plus tard occupée par les éléments du Rassemblement Congolais pour la Démocratie RCD en abrégé avec à la clé un document authentique dument signé par le Général Jean-Pierre Ondekani pour attester les arguments de leur avocat. En 1999, de son vivant, Mr Muhima , leur père et propriété de la dite parcelle a fait venir à Goma, son vendeur Mr Mario ALBERTO pour témoigner devant le commandant des troupes du RCD , le Général Jean-Pierre Ondekani. Cet Officier de haut rang , par sa lettre n0 14/06 du 1999 avait adressé une correspondance de reconnaissance à Mr Muhima : « par la présente lettre, je salue votre courage de faire venir Mr Mario Alberto pour nous confirmer que la parcelle N0 123 bloc 139 /9 vous appartient . En effet après vérification des documents auprès des services compétents nous prenons acte que cette parcelle appartenait à Mr Mario Alberto » écrit-t-il en ajoutant qu’il a vendu à Mr Muhima Mbahirwe Mastora, l’acheteur et non à l’Etat Congolais. Le General Jean-Pierre Ondekani a ainsi sollicité au propriétaire légale de la dite parcelle qu’en attendant le déguerpissement des militaires du bureau de service de renseignement fonctionnant dans ce bâtiment, nous vous prions de patienter les six mois de préavis afin de nous permettre de chercher un nouveau endroit où nous devons construire. Le Général JP Ondekani a fini sa correspondance en lui priant d’accepter ses sentiments de gratitude. En descendant sur le terrain donc au Tribunal des Grandes Instances de Goma pour puiser les bonnes informations à la source, une équipe des journalistes locaux des radios, Télévisions et medias en ligne avons constaté qu’il y a bel et bien un rendu de décision sur cette affaire donnant ainsi à la succession Muhima raison faute d’arguments convainquant et des pièces à conviction sur la dite affaire.
Frank Muteba désapprouve les attitudes de ses adversaires
A la question de savoir pourquoi, l’actuel président du TGI/Goma est cité de boutiquer ce procès par la partie perdante, qui parle d’un jugement unique. Je désapprouve leur attitude car ils n’encouragent pas la justice de faire son travail. L’avocat défense souligne que la BDGL vient maintenant d’initier une procédure qui devra passer le 5 mai prochain contre Jacques Bandu Muhima –conservateur-chef de division et la République. Me Frank Muteba soutient qu’ils vont une nouvelle fois en découdre et attendre que la BDGL présente ces éléments de défense. Le premier procès ne nous a pas opposé avec la BDGL, mais plutôt avec une tierce personne. Il a dénonce l’acharnement médiatique ciblant le Président de la TGI, Alphonse OWONGO, qui selon lui a rendu un jugement partant des preuves et des moyens des défenses qui lui ont été présentés. « Je crois que la partie adverse veut intimider les juges par ses sorties médiatiques, veut forcer la main aux autorités judicaires, une sorte d’acharnent pour influencer le prochain jugement. Ils doivent seulement apporter leurs pièces en conviction » regrette-t-il en précisant que la justice les a remis dans leurs droits. Si la partie adverse estime qu’elle n’a pas été satisfaite, il existe des voies de recours en droit en lieu et place de s’attaquer au Président juges du TGI qui ont fait leur travail d’une église au milieu du village. Cet avocat réitère que le nouveau Chef de l’Etat prône un Etat de Droits et si les Congolais veulent un Etat de Droits, ils doivent par moment accepter de perdre un procès car la Justice à dit la vérité. L’affaire reste à suivre.
Norbert Mwindulwa