Des centaines des policiers et leurs épouses ont appris des connaissances utiles durant trois sur la promotion de la masculinité positive. Damien Masudi Kabungulu, l’un des responsables de l’ONG Living Peace revient sur l’importance de cette formation « nous avons la mission de travailler avec les hommes en uniforme notamment des policiers et militaires afin de diminuer les violences conjugales, psychologiques, économique et physiques » explique-t-il en ajoutant que si ces foyers vivent en paix, cela peut se percuter sur la bonne sécurité de nos communautés. Par contre, le couple du policier Kalunga Jean-Pierre, c’est une nouvelle expérience que leurs familles sont en train de vivre « je crois que le changement de comportement était nécessaire pour le réagissement et développement de nos familles » reconnait-t-il en poursuivant que l’amélioration de vie que connaisse leurs foyers, vient de Living Peace, qui selon toujours lui, est une véritable école du savoir et de moral. Ce couple vit en paix depuis qu’elle a suivie des enseignements et conseils de Living Peace. Aujourd’hui, beaucoup parmi elles, montent des projets d’intérêts familiaux pourtant jadis c’était impossible ont-elles conclues. Pour des observateurs indépendants qui assistait aux témoignages des bénéficiaires, ce projet est utile que nécessaire d’autant qu’il réduise les violences communautaires et apprend les policiers et soldats un savoir vivre avec leurs familles. Benoit Kamberhé souligne que cette ONG puisse poursuivre sa mission dans d’autres provinces de la RDC. « Ce projet peut être l’une des solutions les plus efficaces à l’instabilité du pays. Quand un policier est fort moralement et vit en paix avec sa famille, il le fera aussi pour la population qu’il sécurise avec ses biens » estime-t-il. Il faut dire que Living Peace a été hier dans une activité similaire avec des soldats de FARDC et leurs couples. Le Royaume du Pays-Bas a prolongé le financement de ce dit projet de 3 ans de plus car sa première étape fut une réussite totale confie notre source.
Norbert Mwindulwa