Le ministre national des mines a été ce jeudi 01 Août au chevet des déplacés de Don Bosco Ngangi. Des déplacés ayant fui les territoires de Rutshuru, Nyiragongo Et Masisi pour s’abriter aux environs de la ville de Goma. Cet homme d’état du gouvernement Judith S. n’est pas venu mains vides. Dans sa gibeciaire, nous pouvons voir des sacs de riz, de farine de maïs, de l’huile de table, des bashes pour construction des abris provisoires ainsi que d’autres biens de valeur.
Ce ministère visiblement, l’homme au grand cœur avait également un message de réconfort à ses compatriotes qui vivent dans l’errence et souffrance atroce dans ce site de Don Bosco »Chers compatriotes, je compatis avec vous tous au nom du gouvernement central de la RDC « lance-t-il dans la foulée en continuant que, s’il est là, c’est pour leur témoigner de sa compassion, de son amour envers eux, qui selon lui souffre des affres des guerres provoqués par le Rwanda qui soutient le M23. Ces guerres causant des drames, des familles sont déchirées et d’autres, perdent les leur innocemment, se trouvant dans une situation inconfortable. C’est la raison pour laquelle, le Ministre des mines leur a rappelé qu’ils ne sont pas seuls car le gouvernement central, dirigé par la première ministre Judith S. avec le Président Félix Tshisekedi travaillent jour et nuit pour rétablir la paix dans cette partie orientale de la RDC a-t-il affermi ses concitoyens.
De son côté, la Conseillère Principale du Gouverneur de Province, Mme Prisca Kamala a remercié le ministre Kizito pour sa bonne foi et son amour témoigné à travers cette action humanitaire que pause ce membre du gouvernement central de Kinshasa. Elle a ainsi appelé d’autres personnes de bonne volonté de poursuivre cette action pour ls déplacés de guerre. Prisca Kamala signale que, les besoins restent énorme en termes des bashes et des nourritures.
Prenant la parole, la députée Provinciale Thérèse Nafisa Ramazani, représentante légale des populations dont les déplacés a à son tour remercié le ministre en lui informant que, le vœu le plus ardent des déplacés, c’est celui de pouvoir rentrer dans leurs milieux d’origines afin de vaquer à leurs préoccupations habituelles.
André Museme