Nord-Kivu : Des résultats positifs du projet sur la recherche de la protection de femme et le leadership féminin, présentés à la presse par l’ONG Action Aid à Goma

L’OND Internationale ACTION AID a présenté les résultats de l’un de ses projets ce  vendredi 19 Aout 2022 à l’Institut Français de Goma. C’était devant un parterre des journalistes lors d’une conférence de presse. Ce projet qui a eu deux aspects notamment l’aspect  artistique  et celui de la  recherche.  Des activités sont ouvertes durant deux jours à Goma pour exposer  le résultat du travail mis à la touche des artistes à la fin de ce projet.

Selon la chargée de la recherche et protection des genres  à Action Aid,  concernant l’aspect recherche, cette ONG spécialisée dans  l’action humanitaire a organisé une collecte des données  avec des Associations  des femmes, les autorités locales, des leaders  de notre communauté afin de comprendre  tous les aspects sur l’épineuse question de la protection de la ‘’Femme’’. : «  Nous avons eu un questionnaire de recherche qui a été parcouru  dans nos groupes des discussions et entretiens  individuels  cela,  en deux provinces, le Nord et Sud-Kivu »explique-t-elle. Prenons par exemple le Nord-Kivu où nous avons implémenté  ce projet à Tchatcha et à Bweremana  dans le territoire de Masisi. Par ailleurs, dans la province voisine du Sud-Kivu, c’est  le territoire de Kabare et la ville de Bukavu qui ont été  mis en évidence dans ce projet.

L’insécurité, au centre de tous les maux

Après ces recherches, les analyses des données ont été effectives  avec à la clé des résultats escomptés dont  l’insécurité de la femme liée aux conflits armés, dans leur vie de tous les jours, dans leur vie conjugale car elles demeurent victimes  des violences conjugales dans leurs ménages : «  Elles sont victimes quotidiennement des tabacs, insultes, violences sexuelles et autres formes, par leurs époux. Elles ont aussi une insécurité liée à leurs familles élargie car dans beaucoup de familles, la femme est marginalisée » énumère-t-elle. A la question de savoir une fois victime de ces violences où se tournent-elles, ces femmes ? Notre source a répondu à ces termes : «   Elle a du mal à être secourue car tout le monde banalise sa situation et elle ne sait pas à quel saint se voué car c’est juste une femme » a répondu madame Irène Amuli

Les Associations Féministes font du bon boulot

Le rôle des groupes des femmes  été évoqué lors de cette conférence de presse, alors, que font toutes associations des femmes pour leurs sembles ? Il se remarque  que ces groupes des femmes leur apporte leur assistance quand elles des problèmes car elles sont formés pour cela : «  La femme se sent à l’aise de parler de ses problèmes devant ses pairs car elle leur accorde toute confiance  et ont de l’expérience dans ces genres des violences »  a-t-elle reconnue sagement.  Les journalistes ont voulu savoir pourquoi, les femmes développent souvent la culture du silence quand il s’agit de leur problème ? La réponse du responsable de cherche et la protection du  genre chez l’Action Aid a été sans appel : « La femme congolaise reste victime des US et coutumes car elle ne veut pas étaler les problèmes de son foyer à la place publique et cela, la martyrise encore, elle demeure aussi dépendante d’où il faut garder ce silence radio pour ne pas vilipender celui qui supporte en tout malgré ses viols » explique-t-elle en ajoutant qu’ ‘il faut dire que,  ce projet sur la recherche de la   protection de femme et le leadership féminin   qui a été exécuté au Nord et au Sud-Kivu.

Une plateforme d’ONGS l’exécute

Ce projet est exécuté en concersium avec quatre partenaires  dont Action Aid RDC, LINA, IDEES. Ce projet a un impact positif dans notre communauté, c’est la raison pour laquelle, le concours des artistes a été  un plus pour le matérialiser en traduisant leur compréhension  via les œuvres artistiques. : «  Nous avons parlé des enfants soldats sur nos tableaux , des denses parlant d’enfants accusés inutilement de la sorcellerie et d’enfants de la rue, des spectacles parlant des guerres chez nous , balle perdue et un livre parlant de guerre , celui de l’enfant soldat et albinos , fait par Poète Bukasa » explique cet autre responsable au sein de cette ONG.  Donc deux jours ouvrables d’expositions photographiques et des scenarios  allant dans le sens de tous ces thèmes précités sont mis en exergue par cette ONG, Donc deux jours ouvrables d’expositions photographiques et des scenarios  allant dans le sens de tous ces thèmes précités sont mis en exergue par l’OND Action AID Internationale à Goma.

Norbert Mwindulwa

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