La société civile de la ville de Goma appel à une journée ville morte ce vendredi 29 Novembre 2019. Celle-ci dans le but de pleurer les compatriotes tués à Beni mais aussi demander le départ de la Mission Onusienne en République Démocratique du Congo qui n’aménage pas des efforts pour mettre fin aux massacres à Beni. « Nous demandons à la population de Goma, motards, taximan, élèves, commerçants et autres couches sociales de restent à la maison ce vendredi. Ce qui se passe à Béni est inadmissible et nous ne devons pas nous taire » crashe-t-il en continuant qu’ils demandent aux autorités congolaises et surtout la MONUSCO qui dispose des moyens logistiques puissants de mettre fin à ces attaques. Le contraire sera l’exiger de partir a expliqué devant la presse le Président de la société Urbaine Marion NGAVHO.
Le conseil de sécurité de revoir le mandat de la MONUSCO
« La société civile soutien le départ de la MONUSCO. Si elle veut rester c’est sous condition elle doit changer son mandat dans sa mission de protection aux populations civiles. Le conseil de sécurité doit prendre une résolution d’urgence qui vise la sortie de la MONUSCO en RDC » déclare-t-il et d’ajouter que , plus de 20 ans la population est fatiguée parce que les gens continue à être tués sans qu’elle ne soit pas protègent. Si les tueries continues nous allons passer à la vitesse supérieure martèle pour sa part, le vice-président de la société civile de Goma Vicard Batundi Hangi Vicard. Cette position de la société civile vient se joindre à d’autres appels dont ceux du parlement de jeunes du Nord-Kivu qui a annoncé une semaine sans véhicules de la MONUSCO dans la province du lundi prochain. Pour tout dire, boutiques, magasins et commerces n’ont pas ouvert à Goma et les activités ont été paralysées par cette journée ville-morte
Barak MUNYAMPFURA Héritier