Les Forces de sécurités urbaines dont la 34e région Militaire, l’ANR, le DGM ont réussi ont interpellé ce samedi de différents groupées des bandits à mains armées dont des récidivistes, des criminels de grands chemins, voleurs qui ont été présentés à la presse afin que la population connaissent leurs bourreaux et ce que fait également nos services de l’ordre.
Dans leur groupe un faux réserviste dit Muzalendo qui a galvanisé le site des déplacés de Bulengo où ils ont tiré à sur des personnes emportant ainsi huit appareils radios,, 18 sacs du ciment , des vernis des couleurs, des Power Bank et autres choses des valeurs. Il s’agit ici de Musahada Justin, Adolph Bahati Mabuto et Jonathan Bikuho. Le deuxième, c’est celui de Muhombo Gédéon Salmon qui n’a pas accepté qu’on lui demande s’il va marier la fille avec laquelle il sortait, Gédéon abattu son future beau-père jusqu’à lui arracher ses dents et sa victime reste interne dans une structure hospitalier de la place. Le suivant, le nommé Christian Shibangu a été pris les mains dans le sac le matin de ce samedi lors qu’ils étaient allés vandaliser une boutique de commerce avec son complice, qui selon des témoignages discute avec le propriétaire de la boutique et l’autre vous distrait jusqu’à prendre tout ce dont ils ont besoin dans le comptoir de la boutique et cela par une malignité de vol en escroquerie.
Ils ont été professionnels
Par ailleurs, le Maire de la ville de Goma, le Commissaire Principal Faustin Kapend Kamand dit avoir mené avec ses services des opérations secrètes dans ces sites des déplacés et en voici le résultat. Il regrette que ce prétendu Muzalendo ait tiré sur un enfant de trois, qui a succombé de ses blessures, créant ainsi la panique dans le camp de déplacés, piller l’assistance humanitaire apportée aux déplacés de guerre. Le Maire de Goma a déploré le fait qu’une femme ait financée des criminels pour qu’ils achèvent une autre femme, c’est la raison pour laquelle, il a interpelé les corporations de toutes les mamans car dit-il il y en a de trop et leur demande d’être otologiques.
Norbert Mwindulwa.