Nord-Kivu : Grogne au bureau de l’Union Européenne à Goma

Les Agents  de l’Union Européenne  exigent  leurs arriérées de quatre mois  de salaire.  Ils ont manifesté  ce mercredi 29 avril 2020 devant le bureau   de cette agence  humanitaire à Goma. Ils disent avoir épuisé toutes les démarches pacifiques  afin d’être  remis dans  leurs droits légitime selon  la législation congolaise et le protocole d’accord qui lie ces travailleurs à  leur contrat de travail.

ils scandent les chants de réclamations devant le bureau de l’Union Européenne

 Ils sont  18  désormais ex-fonctionnaires  de l’Union Européenne   travaillant  sur son projet Echo Flay  qui  se sont vus leur contrat de travail être résilié  abusivement  par leur employeur. Ces derniers  dénoncent le retard de paiement de leur salaire de quatre  mois d’affilés, mais aussi avoir été forcés de résilier leur contrat abusivement. Le représentant de ces agents  de l’UE  dénonce ce qu’il qualifie de  violation  de droits de l’homme  faite par  leur employeur en ces termes :«nous pensions que c’est l’Union Européenne qui devrait promouvoir le respect des droits de l’homme ainsi de textes régissant  ses agents, mais nous vivons le contraire. La manière dont on a résilié nos contrats  sans prévenir ni notre syndicat moins encore nous les concernés » se désole-t-il en poursuivant qu’ils n’ont pas été payés depuis le mois de février dernier jusqu’à ce jour et rien est à signaler  sur la manière dont ils devront être indemnisés selon  les closes de leurs contrats de service. Certains  de ces revendicateurs ont plus de 12 dans cette organisation de pays des Européens.  A en croire les closes de leur  contrats   tenu dans leurs mains , ces ex-agents de l’Union Européenne   devront  être avertis  de  l’interruption brisque de leur contrat de travail  et une fois  résilé ce dit contrat  normalement, ils devront recevoir  les indemnités  de sortie liée  à leurs fins de services.  Une chose qui n’a pas été faite car ces citoyens sont remerciés en monnaie de signe à la fin de leur carrière professionnelle. Il  faut dire qu’ils ont tenté de faire des conciliables avec leurs responsables, mais leurs efforts n’ont pas aboutu insistent nos sources. Si leurs droits continuent a être bafoués, ils promettent de poursuivre avec d’autres actions de grandes envergures.Juvénal Murhula .       

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